En réponse à :
15 février 2011, par Le Conseil d’Administration de l’AJM
L’AJM tient à exprimer sa totale solidarité à l’égard des agents du SPIP dont les conditions d’exercice ne sont pas en rapport avec l’ampleur du travail qui est exigé d’eux.
Elle rappelle d’une part que la mission assignée au SPIP est de suivre au quotidien les personnes condamnées à des peines d’emprisonnement ferme ou des sanctions judiciaires. Il est admis par tous qu’un tel suivi ne peux être efficace si chaque agent doit suivre plus de 60 condamnés, alors que de nombreux services sont aujourd’hui (...)