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10 février 2009, par Estragon
L’observateur attentif de notre drôle d’époque, qui ose un léger recul sur les réformes judiciaires récentes et à venir, doit vraisemblablement se réjouir des paradoxes semés le long des discours qui lui sont livrés.
S’il semble en effet commun aujourd’hui de critiquer les contradictions des nouveaux dispositifs, du fait notamment de l’absence de toute profondeur de réflexion, l’analyse objective des critiques et contre-propositions demeure oubliée.
Force est de constater, au vu de l’intense production (...)