En réponse à :
30 octobre 2009, par Yannick Meneceur
« Tout est dit, et l’on vient trop tard » écrivait La Bruyère au plus fort du conflit opposant les Anciens et Les Modernes. Et c’est vrai qu’au sujet de la création de la haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (HADOPI) tout a été dit, tant devant le Parlement que le Conseil Constitutionnel : aucun argument, de fond ou de forme, n’a eu raison d’un positionnement répressif en réponse à la révolution des modes de diffusion des biens culturels.
Les intérêts des (...)